Binding roadmap to finalise the Internal Market in 2019
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During today's debate with the Dutch Prime Minister Rutte about the priorities of the Dutch Presidency, the European Liberals and Democrats have urged him to propose a binding roadmap to open up the Internal Market in 2019.
ALDE leader Guy Verhofstadt said: "25 Years after the establishment of the Internal Market launched by Jaques Delors, we need to give it a new boost. Only 35% of the Internal Market is open. If we want to create real growth and tackle unemployment, it is high time that we untap the potential of the remaining 65%. We need a "Delors 2 package" with binding deadlines to open up the markets of the future, such as energy, telecommunications, transport and capital in 2019."
Sophie in 't Veld (D66, The Netherlands), added :“Europe needs results. Not mere cosmetic changes or symbolic measures but real reforms to make Europe stronger. Rutte needs to seize the opportunity of the midterm review of the EU multiannual budget for a complete overhaul of the archaic and inefficient system. The next opportunity will be in 2027, let's not waste time."
Hans van Baalen (VVD, The Netherlands) concluded: “The outer borders of the EU need to be secured in order to safeguard the Schengen area, which is vital for our economy and crucial if we are to cope with the refugee crisis. Time is not on our side and we can no longer accept that some EU countries are still reluctant to comply. Member states that still do not want to secure the EU’s outer border should leave the Schengen area, countries that want to but cannot should accept help.”
“Prime Minister is right to focus on fulfilling the EU internal market because this will lead to millions of additional jobs, only economic growth can bring the unemployment rates down”
“The UK is stronger within the EU and the EU is stronger with the UK in, the Dutch Presidency has struck the right tone to try to negotiate a good and final deal with Cameron”
Une feuille de route contraignante pour finaliser le marché intérieur en 2019
Au cours du débat en session plénière aujourd'hui en présence du premier ministre néerlandais, Mark Rutte, sur les priorités de la présidence néerlandaise, les démocrates et libéraux européens ont exhorté celui-ci, à proposer une feuille de route contraignante afin d'ouvrir le marché intérieur en 2019.
Guy Verhofstadt, président de l'ADLE, a déclaré: "Vingt-cinq ans après la création du marché intérieur, lancée par Jacques Delors, nous devons donner une nouvelle impulsion. Seuls 35 % du marché intérieur est ouvert. Si nous voulons créer une véritable croissance et lutter contre le chômage, il est grand temps que nous exploitions le potentiel des 65% restants. Il faut un "paquet Delors 2" assortis de délais contraignants pour ouvrir les marchés du futur, comme l'énergie, les télécommunications, les transports et le marché financier en 2019."
Sophie in 't Veld (D66, Pays-Bas), a ajouté : "L'Europe a besoin de résultats. Pas de simples changements cosmétiques ou de mesures symboliques, mais de véritables réformes pour rendre l'Europe plus forte. M. Rutte doit saisir l'occasion de l'examen à mi-parcours du budget pluriannuel de l'UE pour une refonte complète du système archaïque et inefficace. La prochaine occasion sera en 2027, ne perdons pas de temps."
Hans van Baalen (VVD, Pays-Bas) a ajouté : "Les frontières extérieures de l'UE doivent être protégées afin de défendre l'espace Schengen, ce qui est essentiel pour notre économie et primordial pour faire face à la crise des réfugiés. Le temps ne joue pas en notre faveur et nous ne pouvons plus nous permettre de tergiverser avec les Etats membres encore réticents. Les États membres qui ne veulent toujours pas protéger les frontières extérieures de l'UE devraient quitter la zone Schengen, les pays qui veulent mais ne peuvent pas protéger leurs frontières devraient accepter de l'aide."
"Le premier ministre a raison de se concentrer sur l’accomplissement du marché intérieur de l’UE, car cela générerait des millions d’emplois supplémentaires, seule la croissance économique peut diminuer le taux de chômage."
"Le Royaume-Uni est plus fort au sein de l’Union européenne et l'UE est plus forte avec le Royaume-Uni, la présidence néerlandaise a su trouver le ton juste afin de tenter de négocier un accord définitif avec David Cameron."